Expérience militante :
Isabel est travailleuse sociale professionnelle et membre de la CCBQ depuis 2017. Elle a milité dans les mouvements étudiants et milite toujours dans plusieurs organisations communautaires et environnementales notamment, le Centre québécois du droit à l’environnement, la Société Saint-Jean-Baptiste, Action Boréale et le Mouvement Québec français. Elle s’implique au sein du syndicat de son organisation comme agente de liaison. Ex-candidate aux élections fédérales de 2019 pour le Bloc Québécois dans LaSalle—Émard—Verdun , Isabel porte avec conviction ses valeurs féministes et d’ouverture sur l’autre afin que tous les Québécois et Québécoises aient une voix dans le pays du Québec de demain.
Expérience militante :
De gauche à droite : Farida Sam, Isabel Dion et Paul Cairoli
Paul est un travailleur social anglo-québécois, d’origine italienne et hispanophone. Il est impliqué dans le mouvement souverainiste depuis l’échec des accords constitutionnels visant à faire adhérer le Québec au Canada en reconnaissant sa spécificité. Membre de la Commission de la citoyenneté depuis 2017, Paul est un militant indépendantiste très actif; il a entre autres fait partie du Comité des Latino-Américains pour le Oui en 1995. Il a aussi oeuvré au sein du Parti Québécois en tant que président du Comité national de la citoyenneté de 1998 à 2001; président dans Lafontaine de 1998 à 2001; et trésorier du PQ de Montréal-Centre en 2020. Il est également membre fondateur du Mouvement Montréal français et porte-parole du Mouvement Montréal français du Nunavik.
Expérience militante :
Tatiana est agente de mobilisation pour la Table de quartier de Parc-Extension. Elle travaille aussi comme metteuse en scène et directrice artistique du collectif de théâtre Passeurs de Voix. Sympathisante du Bloc Québécois de longue date, elle milite depuis 2017 et est élue secrétaire à la Commission de la citoyenneté en 2019. Tatiana Burtin s’engage en politique pour faire progresser l’idée d’indépendance et d’harmonie sociale auprès de tous les Québécois et Québécoises.
Expérience militante :
Rachid est président de l’association Amitié Québec-Kabylie, créée en 2009. Militant engagé en Algérie pour les causes linguistique, identitaire et culturelle kabyles en premier lieu, mais aussi amazighes et berbères, il poursuit son travail d’éducation et de militantisme au Québec, sa patrie adoptive. Il demeure engagé dans la lutte que mène le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (MAK).
Rachid est membre de la Commission depuis 2007. Il est membre du Conseil général de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal depuis 2007 et conseiller général depuis 2013. Rachid a été candidat du Parti Québécois lors des élections de 2012 et de 2014. Il a aussi oeuvré au sein de l’organisme Amitié des Groupes Interculturels et des Rencontres (AGIR), ainsi que de la section francophone lavalloise d’Amnistie internationale.
Expérience militante :
De gauche à droite : Farida Sam, Isabel Dion et Paul Cairoli
Farida est membre de la CCBQ depuis 2018. Membre du Conseil d’administration de l’association Amitié Québec Kabylie, elle a été une militante engagée, dans sa patrie d’origine, pour les causes linguistique, culturelle et identitaire kabyles, ainsi que pour le droit à l’autodétermination de la Kabylie. Farida a travaillé comme attachée de recherches et chargée des études au Centre de recherches sur les Énergies renouvelables en Afrique du Nord. Membre de l’Ordre des Ingénieurs du Québec depuis 2013, Farida a aussi oeuvré au sein du Conseil d’administration de l’organisme environnemental Foire Écosphère et de l’association Énergie solaire du Québec,
Militante pour la cause indépendantiste du Québec, qu’elle a adoptée dès son arrivée à Montréal en 2012, elle a co-rédigé l’ouvrage d’un collectif de femmes indépendantistes intitulé « Le Québec-Pays : le OUI des femmes ». En 2018, elle a été candidate du Parti Québécois dans Acadie. Elle a été membre de l’exécutif du PQ de Laval-des-Rapides et membre du Conseil général du Réseau Cap sur l’indépendance.
Expérience militante :
Étudiant à l’Université Laval en génie agroenvironnemental et coordonnateur de la semaine de l’indépendance UL, Félix est membre du Forum jeunesse du Bloc Québécois depuis deux ans. Il a été président pour Option Nationale dans Chaudière-Appalaches jusqu’à la fusion. Il occupe plusieurs postes de militant dans divers groupes indépendantistes.
Expérience militante :
Mario Beaulieu en compagnie d’une grand-mère Kabyle
Mario Beaulieu poursuit un second mandat à titre de député de La Pointe-de-l’Île. Il s’est fait connaître par ses actions dans les secteurs des relations interculturelles et de la promotion du français, et par son militantisme dans plusieurs organisations indépendantistes. Organisateur des premières fêtes nationales dans le quartier multiethnique de Parc-Extension; président du Parti Québécois de Montréal-Centre de 1997 à 2002; et candidat du Bloc Québécois dans Papineau en 1997, il a été l’un des membres fondateurs du club politique Syndicalistes et progressistes pour un Québec libre (SPQ Libre). Mario Beaulieu a siégé au Conseil supérieur de la langue française pendant cinq ans jusqu’en 2007 et a fondé en 2006, le Mouvement Québec français et Partenaires pour un Québec français. Il a été président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal de 2009 à 2014, et du Mouvement Québec français depuis son rétablissement en 2011, jusqu’en 2014. Pendant 25 ans, il a œuvré auprès des jeunes, à titre d’éducateur dans un centre jeunesse.
Chef du Bloc Québécois en 2014 et en 2018, Mario Beaulieu a occupé la fonction de chef intérimaire lors de la session d’automne 2018. Porte-parole du Bloc Québécois en matière de Langues officielles, il a déposé, au cours de son premier mandat, le projet de loi C-421 pour faire de la connaissance suffisante du français, une condition pour l’obtention de la citoyenneté au Québec. Il a porté divers autres enjeux liés à la protection et la promotion de la langue française. Il a obtenu le rétablissement d’un moratoire pour les réfugié-e-s du tremblement de terre en Haïti et contribué à l’arrêt des expulsions vers un Port-au-Prince en pleine crise. Mario Beaulieu a également travaillé à promouvoir les causes de l’indépendance et de l’autodétermination à travers le monde, notamment pour les peuples kabyles, catalans et palestiniens. Il a instauré localement une cérémonie de citoyenneté québécoise pour accueillir les nouveaux citoyens dans sa circonscription.
Comme disait Pierre Falardeau, « pour moi un Québécois, c’est quelqu’un qui décide qu’il l’est ». Étant une femme métisse, les valeurs d’égalité et d’inclusion du Québec m’ont portée et elles continuent de le faire. Dès que je quitte mon pays, je ressens toute la chance que j’ai de vivre au Québec, dans cette terre d’inclusion et de respect des différences. La Commission de la citoyenneté du Bloc Québécois s’affaire à rassembler tous les gens qui ont décidé d’être Québécois et qui veulent lutter pour que sa langue, sa culture et ses valeurs perdurent, et pour que le Québec soit enfin reconnu comme le pays qu’il a toujours été. La Commission de la citoyenneté a pour mission de faire de la représentation dans les communautés culturelles afin de semer dans les coeurs le rêve de notre pays, et de rassembler ceux et celles en qui il pousse déjà. Les cérémonies de citoyenneté québécoise en sont un bon exemple. Que ce soit chez les Kurdes, les Kabyles, les Haïtiens ou toute autre communauté, nous sommes là pour parler d’indépendance, d’autodétermination et d’interculturalisme. La souveraineté du Québec est profitable à tous ceux et celles qui ont le français à coeur, qui aiment l’environnement et qui croient en l’égalité homme-femme. Vive le Québec de toutes les Québécoises et de tous les Québécois!
Isabel Dion
Présidente de la Commission de la citoyenneté du Bloc Québécois
Le Québec est un pays qui a besoin de tous ses citoyens pour avancer et pour ce faire, chacun doit se sentir représenté et entendu. La Commission a notamment pour mandat de conseiller le parti sur les orientations et sur toutes questions relatives à la citoyenneté, ainsi que de proposer un plan d’action annuel. Elle vise à favoriser l’implication et le recrutement d’un nombre sans cesse croissant de sympathisantes et de sympathisants issus de l’immigration et de la diversité de genres au sein des instances du parti.