Montréal, le 25 mai 2023 – Laurence Massey, qui fut candidate pour le Bloc Québécois dans Saint-Léonard—Saint-Michel en 2021, représentera à nouveau le Bloc Québécois en vue de l’élection partielle du 19 juin prochain dans Notre-Dame-de-Grâce–Westmount. Engagée pour la cause du Québec et pour la sauvegarde de sa langue, et sensible aux enjeux touchant l’égalité, l’environnement et l’autonomie des nations, elle souhaite porter ces dossiers dans le débat public tout au long de la partielle.

Étudiante universitaire de deuxième cycle en études autochtones et exerçant en communications numériques, Laurence Massey est âgée de 25 ans. Elle compte déjà plusieurs années de militantisme politique à son actif. « J’ai voulu m’impliquer en politique par désir d’engagement social; je crois que la politique est un outil qui doit servir la démocratie. Les citoyens doivent avoir leur mot à dire dans les affaires de l’État, qui doit ensuite gouverner selon les choix exprimés par la société. Ce n’est pas tout à fait ce qui se passe actuellement, au niveau fédéral », observe-t-elle. « Le déclin de la langue française est aussi un enjeu qui me tient beaucoup à cœur. Le recul du français est perceptible de façon marquée à Montréal et c’est maintenant qu’il faut agir pour assurer la survie de notre langue et notre culture française. Nous devons redonner au français la place qui lui revient », affirme la candidate.

« Laurence représente exactement le genre de candidature qui brise le mythe qui voudrait que la jeunesse ne s’intéresse pas à la politique et délaisse le mouvement indépendantiste. Elle portera, tout au long de cette partielle, les enjeux chers au Bloc Québécois, notamment le français et la laïcité de l’État, mais également pour réaliser ce nécessaire virage énergétique et écologique où le Québec a tout à gagner. Il y a en ce moment une volonté de changement à la grandeur du Québec, notamment pour mieux protéger et promouvoir notre langue officielle, cette élection sera l’occasion de l’aborder de front. C’est maintenant que se trace l’avenir du Québec », conclut Yves-François Blanchet.